«Enfant, j’étais fascinée par les vers luisants, dont je voyais la petite lumière émeraude éclairer les haies, les bords herbeux des chemins de campagne les nuits d’été. La magie opérait à chaque fois. Comment était-il possible qu’un banal coléoptère produise une telle beauté luminescente ? Dalc’hit soñj deus ar preñv glas (Souvenez-vous des vers luisants). Se rappeler des beautés du monde, pour ne pas oublier, pour ne pas laisser s’éteindre leurs lumières.»