Celui qui peut se vanter d’être le 4ème humoriste français de sa génération s’est fait connaître chez Ruquier ou au Festival de Montreux en jouant le vilain misogyne avec son humour grinçant à la Desproges. Le voilà qui s’attaque à la crise de la
quarantaine. Lui, le faux macho que les femmes aiment détester, n’est pas touché comme tout un chacun ? Qu’à cela ne tienne ! Les traits qu’il lance tout azimut sont toujours acérés et voilà un délicieux miel pour les ours alléchés que nous sommes. Vive la crise donc !
« Les spectatrices dans un état second, de huer, en rigolant. » Le Canard Enchainé.